Le Cepii s'interroge sur la politique d'immigration et sa capacité à pallier les coûts du vieillissement
Réponse : oui, mais au prix de transformations démographiques en profondeur
Le Centre d’études prospective et d’informations internationales (Cepii) s’est interrogé en juin 2011 sur la contribution de différentes politiques migratoires susceptibles d’alléger le poids fiscal du vieillissement. L’étude (N° 311) menée par Xavier Chojnicki et Lionel Ragot rappelle en se basant sur plusieurs études récentes que « en moyenne, les migrants contribuent moins aux recettes de la protection sociale que les autochtones et perçoivent plus de prestations ». Cette différence de contributions nettes s'observe essentiellement pendant la période de la vie active et s'explique « principalement par des différences de
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