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1- la banalisation : « c’est comme ça et ça ne peut pas être autrement ». La victime estime que la situation de dépendance l’oblige à se contenter de ce que l’on peut lui donner. Rien ne peut changer lorsque l’on est devenu dépendant des autres.
2- la dénégation de la plainte, renvoyée comme illégitime : « vous vous plaignez de quoi au juste ? » . En fait, la victime ou la famille n’est pas écoutée ou bien elles ont le sentiment de n’avoir aucune prise sur la situation et constatent leur impuissance devant des comportements injustifiés. Il ne reste plus qu’à se taire.
3- le déni de la douleur morale qui est exprimée par des douleurs physiques variables ou un état de mal-être qui apparaît sous forme de troubles digestifs, d’insomnie, de fatigue..., sans cause décelable. La reconnaissance de ces faits ne peut être appréciée qu’après une écoute attentive.
4-la peur de représailles (« Ils en seraient capables ! »)
5- la difficulté de faire un signalement aux autorités administratives ou médico-sociales (direction de l’institution, DGAS, police, justice…), surtout lorsqu’il ne s’agit pas d’actes délictuels assez évidents, mais de plaintes pour atteintes à la dignité et aux droits des personnes. On se dit : "Cela suffit-il pour valider une plainte ?"6- le retentissement émotionnel sur les victimes et leur entourage. La violence des sentiments sous-tendant les faits de maltraitance est importante. Que ce soit les acteurs, les témoins, ou les professionnels, le phénomène de la maltraitance peut en effet générer une véritable sidération et entraîner fuite ou impossibilité de prendre le recul nécessaire pour apprécier la réalité et prendre des mesures adaptées. Cette sidération peut aussi aller jusqu’au déni des faits. La maltraitance est donc un phénomène caché, honteux, tabou. Cette caractéristique colle à tous ceux qui la vivent ou l’approchent. Elle colle aussi à notre fonctionnement social qui peine à l’appréhender de manière adaptée. A ce niveau, on pourrait proposer une éducation-sensibilisation des témoins et proches, et surtout des professionnels travaillant pour des personnes âgées vulnérables.
Le fonctionnement d’un centre départemental Alma repose sur l’écoute téléphonique anonyme et bénévole d’appelants interpellés, d’une manière ou d’une autre, par des faits ressentis comme illégitimes et regrettables pour des personnes âgées.Cette écoute, assurée lors de permanences par deux écoutants ayant reçu au préalable une formation, est reprise dans un deuxième temps, parfois fort prolongé si l’appelant le permet, par une équipe de référents ou conseillers disposant d’une expérience pluridisciplinaire sanitaire, sociale et juridique.Le temps de travail sur un dossier permet de mieux cerner une situation.
Il s’agit, tout d’abord, de différencier la maltraitance (avec un agresseur identifié) de la souffrance due soit à une situation personnelle ( handicap, conditions de vie difficiles, maladie mentale, …) soit à une situation structurelle ( défaut organisationnel d’une institution, rigidité d’un cadre législatif ou réglementaire ).
Cette expertise du signalement par le référent du dossier, d’une part, et l’écoute des besoins et des attentes de l’appelant, d’autre part, conduisent à des conseils et une possible orientation (quand cela est nécessaire) vers des services adaptés à répondre ( services sociaux, sanitaires, juridiques, administratifs,…)
Alma ne juge pas.
Alma propose mais ne se substitue jamais à l’appelant pour intervenir directement. Chaque appelant reste maître de ses choix et décisions. Quand l’équipe juge devoir joindre la victime présumée ou son entourage, son anonymat ne peut être levé qu’avec son accord
26/03/2014 11:03
j'ai ma mére qui est en maison de retraite,ou elle etait au premier étage,on lui apportait des biscuits et des bonbons bref,malheureusement, elle metait des miettes et ça les genait car on nettoye tous les 6 jours. pour moi s'est une honte,une fois elle est tomber, une félur au bras,DIRECTION l'hôpital elle a été plâtrer de la main a l'épaule j'ai été la chercher direction sa chambre,en arrivant ilsont apportter le plateau et il son parti heureuxement que j'etais pour lui donner a manger,une autre fois elle est tomber entre l'est deux porte je devais l'emmener pour une visite a l'hôpital car elle marchais avec un entipulateur et depuits elle est dans un fauteuille et ne marche plus car je la prenais tout les 15jours pour la journee et maintenant elle est au rez de chaussez car on ma dis qu'ily avait plus de monde (c'est faut ) pref il a tellement a dire comme si ça vous plait pas mettre vôtre Mére je verse 200 euros par moi et mes frére 163euro mes deux on s enttend pas en plus de cette complication le prix est de 1900euros ça ne l est mérite pas
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