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S’asseoir auprès d’une personne âgée, surtout si elle souffre de troubles cognitifs, c’est une démarche élémentaire pour l’approcher avec respect et considération. C’est se mettre à sa hauteur et ne pas la dominer quand elle est assise et surtout couchée. C’est une condition des autres attitudes propices à une communication souvent problématique. Pour le visiteur âgé ou souffrant, c’est une nécessité. Devoir s’asseoir sur le lit de la personne par manque de chaise possède sa part d’impolitesse. Outre qu’un lit bien fait s’en trouve dérangé, qui souhaiterait le partager avec un visiteur qui n’est pas son conjoint, fut-il assis ? A fortiori s’il s’agit de visites de votre voisin de chambre.Pourtant, la réalité quotidienne n’est pas toujours faite de ce genre d’attentions. Combien d’institutions où aucun siège n’est proposé à ceux qui souhaitent rester dignement auprès de leur parent, de leur ami ou d’une personne isolée. Est-ce si difficile de disposer de chaises pliantes qui occupent peu de place ? Est-ce onéreux ? Pendant des années, j’ai tenté de comprendre ce mystère. Aucune des raisons évoquées ci-dessus ne me semble convaincante.J’y vois plutôt une difficulté persistante à ouvrir nos établissements et à les rendre plus accueillants. A considérer le visiteur comme le bienvenu.En conclusion, je voudrais donner ce conseil hautement philosophique que j’écris peut-être, je m’en excuse, dans le jargon qui sied aux projets de soins : n’oubliez pas la chaise ! Bernard Pradines, le 27 juin 2012.Voir le site Internet du Dr Pradines fourni de ses réflexions >www.geriatrie-albi.fr
Dr Bernard Pradines
mis à jour le 02/07/2012
04/07/2012 09:07
Merci Dr Pradines pour ce plaidoyer. Pour moi, comme pour beaucoup de malades et de proches, je pense, les petits gestes et éléments du quotidien ( le basique) sont souvent un peu trop "banalisés"
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