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La maladie d’Alzheimer est devenue un leader parmi les affections redoutées du fait des altérations inexorablement progressives et multiples, mentales et physiques, qu’elle inflige à ceux qui en sont atteints. Sans oublier leur entourage qui peut se retrouver encore plus à la peine que le patient lui-même. Pour Fabrice Gzil (1), elle fait écho aux angoisses spécifiques de notre époque. En s’attaquant à notre identité personnelle, à notre indépendance et à notre autonomie, elle fait écho à nos craintes collectives de nous éteindre lentement, insidieusement, sous les effets de la surpopulation, du vieillissement ou encore de la dépendance massive impossible à honorer par les jeunes.A ce tableau peu optimiste, on pourrait ajouter les peurs liées aux effets délétères du progrès scientifique et du productivisme aveugle tels que la pollution et le changement climatique.Pour ma part, je m’interroge sur la dimension mnésique individuelle et collective. Ne craignons-nous pas à juste titre de perdre la mémoire ? L’Histoire peut, sinon se répéter, du moins emprunter des voies étrangement similaires. La maladie d’Alzheimer ne viendrait-elle pas nous rappeler aussi qu’il est loisible d’oublier le passé sans nécessité d’en tirer les leçons ? En situation de crise, le pessimisme n’est pas seul au rendez-vous. Il est accompagné par un cortège de troubles mnésiques et d’irrationalité qui devraient nous interroger, nous les « normaux », sur l’intégrité de nos fonctions intellectuelles. (1)Source : Fabrice Gzil, La maladie du temps. Sur la maladie d'Alzheimer. Collection « question de soin ». PUF, 2014.
Dr Bernard Pradines
mis à jour le 14/02/2017
15/09/2015 09:09
je confirme les propos de b pradines suite à l etude faite en 2013 pour mon memoire de capacite sur la fin de vie . plutot que promulguer une nouvelle loi il aurait ete plus judicieux de faire connaitre la loi de 2005 et mettre en oeuvre son application à tous les niveaux de prise en charge
11/09/2015 18:09
très beau texte de Bernard Pradines à la fois explicatif et engagé
13/09/2014 08:09
Travaillant au sein d'un SSIAD, pas besoin de sortir de Polytechnique pour déduire l'importance des animaux de compagnie présents au domicile des personnes âgées.Les choses, il est vrai se compliquent quand une personne âgée rentre en EHPAD. La question de l'animal de compagnie en EHPAD renvoie inéluctablement à la question du degré d'autonomie de son propriétaire, en d'autres termes peut- elle s'occuper de son animal? Quelle(s) articulation(s) une structure peut- elle mettre en place pour suppléer le jour où cela devient nécessaire le degré de dépendance de son maître? Une conviction. Une structure ne peut en aucun cas demander à deux catégories de salariés (Agents/ AS) de prendre en charge seuls, les problèmes éventuels d'hygiène que la présence des animaux engendrerait.
04/07/2014 11:07
Pour faire suite a mon commentaire :je viens de lire sur mon journal quotidienETUDE MINISTERIELLE : 160 000 poste seront créés (aide à domicile ) hausse de 2,6% par an....Nous ne sommes peut être pas encore prêt pour la disparition des ehpad ,mais on y va !!!! Donnons le choix aux familles ,en leur apportant plus d'aide pour le maintien au domicile ..... Mettre la loi en application ; consentement de la personne même sous tutelle pour l'entrée en établissement( loi de 2009 )!!!!
01/07/2014 15:07
Je me trompe peut être ! Mais si 80% des plus de 80 ans sont en bonne santé ! 20% ont des pathologies plus où moins grave ! Sur ces 20% = 10% sont dans des établissements , 10% à domicile ! Il suffirait de permettre en donnant des moyens pour plus de maintient au domicile, et les ehpad se videront. EHPAD hors murs !!!! Dans le département où je suis , des ehpad ont des places libres .... Pourquoi ne pas reconnaitre comme famille d'accueil un enfant qui prendrait un parent chez lui ?
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