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Le médecin gériatre Bernard Pradines partage ses réflexions : L’intimité et la norme.La recherche des besoins et des désirs intimes des personnes âgées devrait faire partie de la démarche évaluative. A l’entrée en institution, il est nécessaire de faire le point avec elles. Pas seulement sur les besoins de l’institution et de la famille, ceux qui semblent aller d’eux-mêmes : pathologies, dépendance, propreté, nourriture, sécurité, etc …. Pas seulement sur les désirs explicites ou supposés mais aussi sur ceux qui sont inexprimés. Pas uniquement sur les désirs réalisables mais aussi sur ceux qui ne pourront pas être honorés. Cette démarche indispensable est encore bien trop timide voir absente. Pourtant, elle ne va pas sans difficulté. Le risque est ici d’être normatif malgré soi. Evoquer telle ou telle attitude dans les domaines intimes, par exemple le fait de maintenir la porte fermée pour préserver l’intimité d’un couple lors de la visite du conjoint, c’est interroger les personnes sur leurs positions par rapport à des normes. La lenteur, la diplomatie, la réassurance et le renforcement positif doivent donc être au rendez-vous. Sinon, le risque est grand de choquer les personnes dans leurs convictions d’autant plus ancrées qu’elles n’ont jamais été remises en question, voire simplement critiquées.Voir son site Internet : www.geriatrie-albi.fr
Dr Bernard Pradines
mis à jour le 14/02/2017
15/09/2015 09:09
je confirme les propos de b pradines suite à l etude faite en 2013 pour mon memoire de capacite sur la fin de vie . plutot que promulguer une nouvelle loi il aurait ete plus judicieux de faire connaitre la loi de 2005 et mettre en oeuvre son application à tous les niveaux de prise en charge
11/09/2015 18:09
très beau texte de Bernard Pradines à la fois explicatif et engagé
13/09/2014 08:09
Travaillant au sein d'un SSIAD, pas besoin de sortir de Polytechnique pour déduire l'importance des animaux de compagnie présents au domicile des personnes âgées.Les choses, il est vrai se compliquent quand une personne âgée rentre en EHPAD. La question de l'animal de compagnie en EHPAD renvoie inéluctablement à la question du degré d'autonomie de son propriétaire, en d'autres termes peut- elle s'occuper de son animal? Quelle(s) articulation(s) une structure peut- elle mettre en place pour suppléer le jour où cela devient nécessaire le degré de dépendance de son maître? Une conviction. Une structure ne peut en aucun cas demander à deux catégories de salariés (Agents/ AS) de prendre en charge seuls, les problèmes éventuels d'hygiène que la présence des animaux engendrerait.
04/07/2014 11:07
Pour faire suite a mon commentaire :je viens de lire sur mon journal quotidienETUDE MINISTERIELLE : 160 000 poste seront créés (aide à domicile ) hausse de 2,6% par an....Nous ne sommes peut être pas encore prêt pour la disparition des ehpad ,mais on y va !!!! Donnons le choix aux familles ,en leur apportant plus d'aide pour le maintien au domicile ..... Mettre la loi en application ; consentement de la personne même sous tutelle pour l'entrée en établissement( loi de 2009 )!!!!
01/07/2014 15:07
Je me trompe peut être ! Mais si 80% des plus de 80 ans sont en bonne santé ! 20% ont des pathologies plus où moins grave ! Sur ces 20% = 10% sont dans des établissements , 10% à domicile ! Il suffirait de permettre en donnant des moyens pour plus de maintient au domicile, et les ehpad se videront. EHPAD hors murs !!!! Dans le département où je suis , des ehpad ont des places libres .... Pourquoi ne pas reconnaitre comme famille d'accueil un enfant qui prendrait un parent chez lui ?
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