Directives anticipées : 83% de personnes de plus de 75ans disent ne pas être intéressées par le concept, selon une récente étude
La vie qui reste est au coeur des préoccupations
La loi du 22 avril 2005, dite « Loi Leonetti » sur la fin de vie et les droits des malades a introduit pour tout un chacun la possibilité de rédiger des directives anticipées. Une récente étude réalisée par le Centre d’éthique clinique de l’hopital Cochin (CEC) révèle que les plus de 75 ans marquent leur désintérêt pour ce concept. 90% disent ne pas le connaître et une fois informés disent qu’ils ne s’en saisiront pas.Ne se sentant ni vieux ni malades leurs préoccupations se portent avant tout sur le sens de la vie qui reste et non sur le sens de la mort.Le concept de « directives anticipées » vise à ce que la personne malade ou non écrive ce qu’elle
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