Non, les maisons de retraite ne sont pas des camps de concentration ! Tribune libre de Bernard Pradines
Un écrit par ci, un thème de mémoire par-là, une intervention ou des allusions dans un colloque ou un séminaire. Les institutions d’hébergement et de soins pour personnes âgées seraient des camps de concentration. Pas moins ! Au pire, nous en serions les gardiens, au mieux les conducteurs de la locomotive qui amène les résidents vers leur funeste destin.Argument grossier, né de la culpabilité collective du « placement » en contrainte et de l’angoisse d’y être soumis ? Peut-être, mais plus difficile à démonter qu’il n’y semble à premier vue. D’autant que la notion de mouroir, aussi imprécise soit-elle, a ouvert la voie vers des qualificatifs encore plus radicaux : invoquée si souvent sans
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