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Anticipation : les deux extrémismesAu nom du principe d’autonomie, trop longtemps négligé, chacun s’accorde sur l’intérêt des mesures d’anticipation en matière de santé. Elles prennent tout leur sens dans l’éventualité où la personne ne pourra plus s’exprimer, situation prévisible de plus en plus fréquente avec l’accroissement de la prévalence des démences. Ces dispositions se traduisent en France par la désignation d’une personne de confiance et par la rédaction de directives anticipées. En fait, c’est le plus souvent auprès de ses proches que la personne concernée se sera confiée verbalement avant de ne plus être à même d’y pourvoir. La première propension « extrémiste » serait de n’en jamais parler afin de partager le déni commun de projection sur la fin de la vie. Et de ne pas permettre à ceux qui veulent s’exprimer de le faire en toute liberté. Pourtant, je suis davantage préoccupé par l’autre « extrémisme ». En effet, la désignation d’une personne de confiance et la rédaction de directives anticipées sont largement boudées par nos concitoyens. Dans ce contexte comportant l’affaire Vincent Lambert, cette deuxième tentation serait de les recommander fortement au risque d’en imposer le principe à des personnes qui n’en veulent pas. En conclusion, les lois de 2002 et 2005 sont censées aider les personnes. Elles n’ont aucun caractère coercitif. N’imposons pas aux patients de s’exprimer au nom de… la liberté.Pour en savoir plus :http://tinyurl.com/kaj8g8h Pour aller plus loin :www.geriatrie-albi.fr Twitter : @BernardPRADINESBlog : http://free.geriatrics.overblog.com/
Dr Bernard Pradines
mis à jour le 14/02/2017
15/09/2015 09:09
je confirme les propos de b pradines suite à l etude faite en 2013 pour mon memoire de capacite sur la fin de vie . plutot que promulguer une nouvelle loi il aurait ete plus judicieux de faire connaitre la loi de 2005 et mettre en oeuvre son application à tous les niveaux de prise en charge
11/09/2015 18:09
très beau texte de Bernard Pradines à la fois explicatif et engagé
13/09/2014 08:09
Travaillant au sein d'un SSIAD, pas besoin de sortir de Polytechnique pour déduire l'importance des animaux de compagnie présents au domicile des personnes âgées.Les choses, il est vrai se compliquent quand une personne âgée rentre en EHPAD. La question de l'animal de compagnie en EHPAD renvoie inéluctablement à la question du degré d'autonomie de son propriétaire, en d'autres termes peut- elle s'occuper de son animal? Quelle(s) articulation(s) une structure peut- elle mettre en place pour suppléer le jour où cela devient nécessaire le degré de dépendance de son maître? Une conviction. Une structure ne peut en aucun cas demander à deux catégories de salariés (Agents/ AS) de prendre en charge seuls, les problèmes éventuels d'hygiène que la présence des animaux engendrerait.
04/07/2014 11:07
Pour faire suite a mon commentaire :je viens de lire sur mon journal quotidienETUDE MINISTERIELLE : 160 000 poste seront créés (aide à domicile ) hausse de 2,6% par an....Nous ne sommes peut être pas encore prêt pour la disparition des ehpad ,mais on y va !!!! Donnons le choix aux familles ,en leur apportant plus d'aide pour le maintien au domicile ..... Mettre la loi en application ; consentement de la personne même sous tutelle pour l'entrée en établissement( loi de 2009 )!!!!
01/07/2014 15:07
Je me trompe peut être ! Mais si 80% des plus de 80 ans sont en bonne santé ! 20% ont des pathologies plus où moins grave ! Sur ces 20% = 10% sont dans des établissements , 10% à domicile ! Il suffirait de permettre en donnant des moyens pour plus de maintient au domicile, et les ehpad se videront. EHPAD hors murs !!!! Dans le département où je suis , des ehpad ont des places libres .... Pourquoi ne pas reconnaitre comme famille d'accueil un enfant qui prendrait un parent chez lui ?
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