Fin de vie : les députés réintègrent le droit à une sédation profonde dans la loi (*)
A l’heure où s’ouvre le procès du Dr Bonnemaison, le projet de loi sur la fin de vie continue ses allers-retours entre les différentes chambres.Le 6 octobre dernier, l’Assemblée a toutefois achevé l’examen en deuxième lecture. Le vote, obtenu à une large majorité, réintègre des droits ôtés par le Sénat. Les directives anticipées seront notamment plus contraignantes. Les patients pourront également bénéficier d’une sédation profonde et continue dans certaines situations : en cas de souffrance réfractaire lorsqu’ils se trouvent en phase terminale, en cas d’incapacité totale d’exprimer leur volonté ou en cas d’arrêt d’un traitement de suppléance vitale, afin d’éviter une agonie pénible. Mais
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